J’écris parce que je sais que Tout
– et surtout ce jardin avec ses feuilles qui se penchent sur mon épaule, son murmure venu de la source, son sentier que mon pas entrouvre, la neige d’or de son forsythia, ses belles de nuit qui s’apprêtent pour les étoiles, ses rires égrenés, sa luciole échappée du thym –
peut s’effacer
de bon matin.
Géraldine
