Dans ma chambre
d’hôtel
aux murs bruns
et anonymes,
j’ouvre
mon cahier intime,
blanc
comme les lueurs
du lilas
au printemps,
et les lampes
des mots
s’allument
lorsque j’entre
dans mon âme
qui s’exclame :
Te voilà !
Géraldine Andrée
Dans ma chambre
d’hôtel
aux murs bruns
et anonymes,
j’ouvre
mon cahier intime,
blanc
comme les lueurs
du lilas
au printemps,
et les lampes
des mots
s’allument
lorsque j’entre
dans mon âme
qui s’exclame :
Te voilà !
Géraldine Andrée