Vous vous sentez fatigué physiquement, épuisé émotionnellement ? Renouez avec le pouvoir créateur de l’eau.
On ouvre le robinet, on remplit son verre, on prend une douche sans avoir véritablement conscience du caractère précieux et miraculeux de l’eau.
On peut rester des semaines sans manger. On ne peut demeurer, en revanche, plus de trois jours sans boire. Sinon, c’est la mort.
Votre tête se fait lourde ? Vous êtes noyé dans vos soucis ? La lassitude gagne votre corps ? Vous ne pouvez plus créer ? Buvez un verre d’eau ou plusieurs. Cela éclaircira vos idées, allégera votre coeur et vous vous remettrez aussitôt au travail, avec des idées neuves.
Boire entre les repas non seulement facilite la digestion et favorise l’élimination, mais aussi vous purifie de toutes les toxines mentales, psychiques que les autres vous envoient ou que vous secrétez vous-même.
Vous pouvez varier et boire du thé vert – excellent diurétique et détoxifiant -, des infusions ayurvédiques qui réactivent les centres d’énergie – ou chakras.
La douche de lumière est également préconisée pour tous les traumatisés, les victimes de harcèlement moral et de perversion narcissique.
Au cours de la douche le soir, il faut visualiser que la lumière coule sur la peau, les membres et évacue tout ce que l’on a enduré au cours de la journée dans le siphon. De cette façon, les intentions négatives qui ont été projetées se décrochent de l’être et cessent de lui nuire. La douche de lumière est également recommandée après une journée harassante sur le plan nerveux.
Il ne faut pas oublier que nous sommes nous aussi composés à 65% d’eau. Nous participons donc à cet échange énergétique avec l’extérieur.
L’eau est très sensible à l’énergie que l’on émet. Le chercheur Emoto complète les travaux de Benveniste prouvant que l’eau garde la trace des propriétés de certaines substances. Emoto a montré que les molécules de l’eau changeaient selon que l’on émettait une pensée d’amour ou de haine. Les molécules influencées par une pensée de haine se rétractent, se déstructurent. En revanche, les molécules influencées par une pensée d’amour s’unifient, s’harmonisent.
L’eau vive recharge le corps et le psychisme en joyeux magnétisme car elle ne garde aucune empreinte d’intention humaine.
Les eaux stagnantes, en revanche, plombent l’énergie. Il est connu que les maisons qui contiennent un puits ou qui sont construites sur d’anciens marécages nuisent à la santé car de très lourds égrégores (ou amas d’intentions), parfois issus de générations très anciennes, ont eu le temps de salir l’eau dans toute sa composition.
Si, en tant qu’artiste et créateur de votre vie, vous êtes en panne d’inspiration ou que connaissez une phase de dépression, installez-vous confortablement au bord de l’eau dans un coin de nature – source, torrent, fontaine, cascade ou océan.
Ce n’est pas un hasard si des peintres impressionnistes comme Monet ou Manet ont peint la métamorphose des couleurs de l’eau selon les heures. De même, toute la littérature – qu’elle soit romanesque ou poétique – évoque la magie de l’eau. Beaucoup de récits de Maupassant situent le cadre spatio-temporel sur les rives de la Seine ou au bord de la Manche. De même, le chant d’une rivière ou d’une fontaine participe, dans la poésie de Victor Hugo, à d’émouvantes et bucoliques retrouvailles avec l’univers de l’enfance.
Prenez votre calepin de notes ou de dessins.
Installez-vous à fleur de vague, juste à l’endroit où les bulles crépitent sur la terre ou le sable.
Confiez-vous à l’eau. Remettez-lui vos peines et vos espoirs, vos peurs et vos souhaits. Mêlez-y vos larmes.
Puis, prenez votre plume ou votre pinceau. Acceptez tout ce qui remonte à la surface de vous-même, tout ce qui vous envahit, vous enveloppe, vous submerge.
Lâchez prise. Ne retenez rien. Laissez-vous voguer.
Soyez l’eau qui ne contourne pas l’obstacle mais qui danse au-dessus, autour et en-dessous.
Changer un mot ou deux Sauter plusieurs espaces Laisser un blanc que viendra plus tard combler la juste pensée
Et si l’histoire n’est pas belle pour soi effacer les phrases où s’essoufflent les rêves Gommer les lignes trop droites qu’il faut suivre contre son désir
Oublier si c’est nécessaire tout ce qui a été écrit les jours sans foi et puisque rien vraiment ne s’achève recommencer
à partir de la rature car c’est de la pierre grossière que rejaillit l’infini murmure de la lumière
Un jour, je partirai. Je préparerai mes bagages avec ces menus gestes que seul le silence m’a appris. Je passerai devant chaque seuil sans réveiller personne. C’est à peine si mon ombre dérangera la lumière de l’aurore sur le carrelage. Je confierai à l’armoire mes journaux intimes – mon coeur s’étonnera d’être délivré de toutes ces vieilles histoires -, verserai de l’eau jusqu’au bord de la bouteille, entourerai de bleu ciel dans mon rêve le point de ma destinée puis, lorsque le carillon aura sonné son heure ultime, je disparaîtrai en ne vous laissant comme signe que le dessin de mon pas sur la terre fine de l’allée.
Mais quelle est donc cette force magique de l’écriture ? Découvrons-le ensemble dans le cadre d’un atelier que je vous proposerai à la Bibliothèque de la Société d’Etudes Psychiques, 1 ter Place de la Neuvième Division de l’Infanterie Coloniale 54000 Nancy, le 05 janvier 2019, de 14 heures à 17 heures.
Le samedi 05 janvier 2019, lors de la première causerie à la Bibliothèque, je vous parlerai du pouvoir spirituel de l’écriture.
Au moment d’écrire cet article, je me suis interrogée : vais-je employer « Elle » ou « Je » ?
Et je me suis dit que j’allais me présenter moi-même puisque j’écris les articles de ce site.
De cette façon, j’instaurerai un contact plus proche avec vous, lecteurs et futurs auteurs.
Qui suis-je ?
J’écris depuis l’enfance.
Je tenais à l’âge de sept ans un cahier orange dans lequel j’écrivais des poèmes illustrés de dessins.
J’aimais associer lettres et mots aux couleurs. Très tôt, j’ai relié l’écriture à la créativité.
Quand je me promenais ou que je faisais de la bicyclette, je m’inventais des histoires.
Je sais depuis longtemps que la créativité est mouvement. L’écriture, par l’élan de la main sur la page, initie ce mouvement.
Adolescente, j’ai commencé à tenir un journal. J’aimais entendre le tintement de sa petite clé dorée lorsque je l’ouvrais. Il me semblait que j’entrais dans ma maison. Et j’insisterai bien lors de ma causerie sur la dimension intime de l’écriture.
J’en ai écrit depuis, des cahiers. Des cahiers Clairefontaine aux cahiers de moleskine noire, dits « carnets d’Hemingway » en passant par les cahiers à spirale, les blocs de dessin – car l’écriture est aussi dessin, je vous le montrerai.
Un matin, j’ai relu l’une de ces anciennes pages et j’ai découvert avec surprise que l’un de mes voeux – que je décrivais au présent, comme s’il s’était déjà réalisé avec sa lumière, ses couleurs, ses bruits, ses textures, ses odeurs – avait été exaucé.
Par quelle force magique ? Par quelle prière ? C’est ce dont je vous parlerai pendant ma causerie.
L’écriture est devenue de plus en plus présente dans ma vie, au point de devenir impérieuse nécessité.
Très vite, en plus du métier de voix et de transmission que j’exerce – puisque je suis professeur de Lettres -, j’ai senti que je pouvais aider les autres par l’écriture. J’ai donc suivi une formation d’écrivain public-biographe. J’ai souhaité prêter mes mots à d’autres et, encore une fois, ce rêve m’a appelée puisque j’ai écrit des récits de vie pour des proches, des amis.
L’écriture ne m’a jamais quittée. C’est une vie dans ma vie, une seconde peau. Certes, elle m’a permis de me montrer – j’ai en effet obtenu des prix littéraires pour mes poèmes et mes textes – mais surtout, elle m’a permis « d’être« , indépendamment de mon environnement. Souvent, elle fut refuge. Souvent, elle m’a sauvée.
Ma causerie du 05 janvier 2019 vous montrera comment elle exerce ce pouvoir salvateur car je suis certaine que tout le monde peut vivre la merveilleuse expérience d’être Soi en écrivant. Tout le monde peut écrire. J’ai d’ailleurs décidé d’en faire une pratique de méditation active, correspondant aux Occidentaux que nous sommes.
Mais quelle est donc cette force magique de l’écriture ?
On réduit dans notre société l’écriture à un pouvoir purement normatif, conventionnel, administratif. Pas étonnant dès lors que beaucoup aient peur d’ouvrir un cahier et d’y inscrire un premier mot – le leur !
Mais l’écriture est bien plus que cette dimension sociale. Elle est souffle, énergie, vibration. Par l’encre qui donne forme aux mots, par le mouvement de la main qui insuffle à la phrase l’élan d’une vague, l’écriture incarne votre rêve de vie ; elle incarne votre rêve dans la Vie !
La première chose à laquelle on pense lorsque l’on se penche sur le pouvoir spirituelde l’écriture est l’écriture automatique. C’est l’un des aspects du pouvoir spiritueldel’écriture mais ce n’est pas le seul. D’ailleurs, l’expression « écriture automatique » est ambiguë et j’éclaircirai cette ambiguïté.
Ecriture intuitive, écriture inspirée… Toutes ces « méthodes » sont en lien avec le pouvoirspirituel de l’écriture. Mais peu importent les noms ! A trop vouloir se focaliser sur le type d’écriture, on passe à côté du miracle qui accompagne le ressenti intérieur provoqué par le voyage du stylo sur la feuille.
Aussi vous donnerai-je plutôt des façons d’ouvrir dans la page blanche cette fenêtre sur vous-même. En convoquant la tenue d’un journal – traditionnel ou ludique, je vous ferai découvrir la méthode du journal créatif initié par Anne-Marie Jobin, art-thérapeute. De même, je vous montrerai comment le calligramme est l’un des chemins qui peut mener à votre Âme, ainsi que le bullet-journal ou la page de visualisation.
Par les pages du Matin – que pratique quotidiennement sa créatrice, Julia Cameron – , vous pourrez prendre conscience que l’écriture est toilette de l’esprit.
Et il vous sera possible d’intégrer ce rituel à la danse, à la musique, à cet espace sacré de non-jugement qu’habite votre Guide, cet Autre Vous-Même !
En effet, pour que l’écriture ait un pouvoir spirituel, il me paraît nécessaire qu’elle soit en lien direct avec ce que nous vivons et ressentons à l’instant où nous écrivons, au moment où le quotidien ne nous a pas encore happés, c’est-à-dire le matin. Et la thérapie des Pages du matin fait partie de ce pouvoir spirituel.
L’écriture est une force maîtrisée qui répond au principe de la loi d’attraction. En dialoguant ainsi sur la page avec toutes vos voix, vous mesurerez combien vous êtes l’auteur… de ce journal, de ce carnet, de l’Oeuvre de Votre Vie !
La causerie se terminera par des exercices d’écriture qui vous étonneront sur vous-même et vous permettront d’être plus tard à votre table votre ami(e) le plus proche, le plus cher, le plus intime.
Je vous invite à venir avec votre plus beau carnet car, ne l’oubliez pas, plus ce carnet est accueillant, plus vous aurez le sentiment, en y écrivant, d’entrer au coeur de chez vous.
Et si cette causerie vous a intéressé(e)s, pourquoi ne pas organiser au cours d’une rencontre ultérieure à la Bibliothèque un atelier d’écriture ? A vous de me dire !
Pour mieux me connaître, je vous invite à vous rendre sur ma page
Ton nom
Guy
Est un pont
Entre le silence
D’ici
Et les chants
De là-bas
Une seule
Syllabe
Et j’approche
Le mystère
De ta présence
Autre part Toute une constellation Luit
Désormais
Guy
Dans ton nom
Géraldine Poème écrit pour mon père Décédé dans la nuit Du 11 au 12 novembre 2018