J’écris
pour attraper
ce papillon
échappé
de l’ancien
Japon
et qui s’enfuit
par les boucles
de mes lettres,
ces fenêtres
toujours
ouvertes,
en laissant
des pointillés
d’or
qui scintillent
dans ma mémoire
jusqu’à la prochaine
aurore…
Géraldine Andrée
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