Publié dans Poésie

Tu me dis

Tu me dis
On t’a gardé
la grande
chambre

jusqu’à
aujourd’hui
Et je songe
oui

que j’ai eu besoin
sur mon chemin
de cette vaste
chambre

du silence
où la prière
touche
mon coeur

en le frôlant
dans son envol
comme une feuille
de septembre

Géraldine Andrée
Tous droits réservés@2018

Auteur :

Ecrivaine, poétesse, biographe, veilleuse et éveilleuse de Vie !

Laisser un commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s